Le fils de Camilla a défendu sa mère suite aux accusations de Harry dans ses mémoires

Certains royalistes ont été choqués par les révélations étonnantes révélées dans les mémoires du prince Harry, Le Suppléant. Harry, le duc de Sussex, a pointé du doigt de nombreuses personnes dans sa vie, y compris sa belle-mère, la reine consort Camilla. Ses propos n’ont toutefois pas plu à une personne proche de la famille : le fils de Camilla, Tom Parker Bowles. En effet, celui-ci n’était pas prêt à laisser passer certains commentaires de son demi-frère.

Le roi Charles III et Camilla

Camilla a commencé à fréquenter le roi Charles III en 1970 alors qu'il était encore prince de Galles. Ils ont toutefois rompu en 1973, et Camilla a épousé Andrew Parker Bowles la même année avant de donner naissance à Tom Parker Bowles et Laura Lopes. Charles est toutefois réapparu dans sa vie en 1987 lorsque lui et Camilla ont entamé une liaison torride. Camilla et Charles étaient tous deux divorcés en 1996, et les tourtereaux ont fait leur première apparition publique en 1999. Que d'aventures pour ce couple.

L'autre femme

Le mariage de Charles et Camilla en 2005, qui a eu lieu environ 35 ans après qu'ils ne soient tombés amoureux, a marqué un tournant pour la Grande-Bretagne. En effet, à l’époque, la réputation de Camilla dans la presse était peu glorieuse, Camilla ayant été surnommée « l’autre femme » alors que Charles était marié à la princesse Diana. Cette dernière avait d'ailleurs tristement confié : « Eh bien, nous étions trois dans ce mariage, alors ça faisait un peu beaucoup », lors d’une entrevue télévisée avec Panorama en 1995.

Quel a été l'impact pour Tom et Laura ?

Au fil des ans, on a beaucoup parlé de l'impact de cette liaison et du mariage subséquent sur les enfants de Diana et Charles, le prince William et Harry. Mais qu'en était-il pour Tom et Laura qui ont grandi confrontés à ce rapport délicat avec la famille royale ? Un rapport qui a conduit à la diffamation publique de leur mère avant de devenir encore plus concret suite à son mariage au sein de l’institution... Ça n’a pas dû être évident pour eux !

Tom s'est confié sur son enfance et cette infamie royale

En 2006, Tom a donné une rare entrevue dans laquelle il a longuement évoqué son enfance et sa proximité à la famille royale. Pendant des années, les médias avaient accusé leur mère, décrite comme la « briseuse du ménage » de Charles et Diana, d'avoir complètement bouleversé son enfance et celle de sa sœur. En réalité, il a même été sous-entendu que leur vie avait été ruinée car elle avait sali leur nom de famille. Tom a toutefois rejeté cette idée en bloc.

Il a nié l'idée que la vie était dure

« Les gens disent que nous étions terriblement harcelés à l’école », a déclaré Tom. « Mais, lors de mes premières années à Eton, il n’y avait rien à signaler au sujet de ma mère et Sir [le surnom qu’il a toujours donné à Charles] ». Il a précisé ce qui l’avait le plus contrarié : « Quand quelqu’un qui ne la connaît pas dit qu’elle a été une mauvaise mère… Elle a été une mère exemplaire. Elle ne juge jamais, elle est très drôle… et c'est un bonheur de rentrer à la maison ».

Une enfance « idyllique »

« Les gens blâment leur éducation pour tout, mais mon enfance et celle de ma sœur étaient absolument idylliques », a déclaré Tom avec insistance, avant de mentionner l'absence de stress et de conflit dans sa famille. « Mes parents sont restés bons amis ; ils se rendent visite. Ma mère, mon père et ma belle-mère étaient tous présents au lancement de mon livre, mais Sir n’a pas pu venir car son emploi du temps était déjà bien rempli ».

Pas besoin d'être formé

En 2021, le journal australien A Current Affair a demandé à Tom si, en tant que membres adjoints de la royauté, sa sœur et lui avaient déjà suivi une formation spéciale pour bien se comporter en public. Il a répondu en rigolant : « ma sœur et moi n'avons pas eu besoin d'être formés car nous ne faisons pas partie de la famille royale, nous sommes des roturiers, des roturiers ordinaires ». Il a confié qu’il était simplement sous-entendu qu’ils devraient essayer de ne pas embarrasser leur mère ou l’institution.

Pas de fond royal pour Tom

Et en effet, cela correspond tout à fait à ce que Tom a confié en 2006, lorsqu’il a été invité à donner son avis sur la rumeur selon laquelle sa sœur et lui ont reçu des fonds de la famille royale à hauteur de 1,25 million de dollars. Il a confié qu'il s'agissait d'une absurdité, ajoutant : « Clarence House l’a nié. Ça serait merveilleux, mais nous devons tous les deux travailler. J’ai dû hypothéquer ma maison à Notting Hill ».

Les scandales dans les tabloïds

Comme son demi-frère Harry, Tom s'est souvent retrouvé mêlé à des scandales dans les tabloïds, ce qui inclut plusieurs incidents liés à la drogue dont il n’est pas fier aujourd’hui. Il a confié au journal britannique The Daily Telegraph : « Si vous vous faites prendre, vous ne pouvez blâmer personne à part vous-même. Il ne reste plus qu'à lever la main et reconnaître qu’on est jeune et stupide ».

Une mauvaise influence ?

Les problèmes de Tom ont poussé certains à dire qu’il avait une influence négative sur Harry et William, un peu comme un frère aîné mal élevé. Il était en effet sous-entendu qu'il était devenu très proche de William à la suite de la mort prématurée de Diana. Selon Tom, cela était toutefois complètement faux. Il n'avait pas l'impression d'avoir la moindre influence sur les princes.

Pas d'après Tom

« Je ne pense pas être devenu un frère aîné pour eux », a affirmé Tom. Il a toutefois ensuite décidé de changer de sujet sans vraiment expliquer pourquoi il avait l’impression que ce genre de lien ou d’influence n'avait jamais existé. Il a simplement complimenté les princes en disant : « Ils sont tous les deux incroyablement gentils, charmants et bien élevés, et ils ont déjà assez de chats à fouetter sans que je m'étale sur le sujet ».

La méchante belle-mère ?

On ignore si Tom était proche de Harry, mais son demi-frère ne cache pas ses sentiments pour sa mère dans Le Suppléant. Exemple parlant, Harry a comparé sa première rencontre avec Camilla à une piqûre, affirmant qu'il répétait dans sa tête : « ferme les yeux et tu ne sentiras rien ». Il a ajouté : « Je me souviens m’être demandé... si elle serait cruelle envers moi ; si elle serait comme toutes les méchantes belles-mères dans les contes ».

William « se méfiait de Camilla »

Harry a également affirmé que son frère, qu’il surnomme « Willy » de manière taquine dans le livre, s'était toujours méfié de l'arrivée de Camilla dans sa famille. Il a écrit : « Willy s'est longtemps méfié de l’Autre Femme, ça le troublait et le tourmentait. Lorsque ces doutes ont été confirmés, il s'est senti coupable de n’avoir rien fait ou dit avant ».

« Vous n’avez pas besoin de vous remarier »

En effet, Harry a affirmé dans son livre que lui et William avaient supplié leur père, surnommé « Pa », de ne pas épouser Camilla. Il a écrit : « Lorsque la question s'est posée, Willy et moi avons promis à notre père d'accueillir Camilla au sein de la famille. La seule chose que nous avons demandée en retour, c’est qu’il ne l'épouse pas. 'Vous n’avez pas besoin de vous remarier' ».

Une stratégie sur le long terme

« Nous vous soutenons », poursuit Harry dans son livre. « Nous soutenons Camilla. 'Mais ne l'épousez pas, s'il vous plaît, soyez simplement ensemble, Pa'. Il n’a pas répondu, mais elle oui. Immédiatement. Elle a adopté une stratégie sur le long terme peu de temps après nos sommets privés avec elle ». Harry a ensuite partagé l’affirmation la plus incendiaire de toutes : Camilla avait divulgué des détails sur sa relation avec William à la presse.

Une taupe dans la famille

Harry a écrit : « Une campagne avec un mariage, et finalement la Couronne, pour objectif, avec la bénédiction de Pa, selon nous. Des histoires ont commencé à apparaître dans tous les journaux au sujet de ses conversations privées avec Willy, des histoires qui incluaient des détails précis qui n'avaient bien sûr pas été partagés par Willy. Elles n’auraient pu être divulguées que par… l'unique autre personne présente ».

Un doreur d'image à la rescousse

En effet, Harry a accusé Camilla d’avoir convaincu son père d’embaucher un « doreur d’image », dont le nom ne figure pas dans le livre, mais qui pourrait être Mark Bolland, pour changer l’opinion publique à son sujet. Malheureusement, il pense également que M. Bolland, Camilla, et même son père ont tenté d’accomplir cela en détournant l’attention négative sur lui. Il avait l'impression d'être la brebis galeuse de la famille royale aux yeux des médias.

« Jeté en pâture »

Le principal exemple de Harry au sujet de cette tactique concerne la publication d'un article sur sa cure de désintox pour un problème de drogue par le journal britannique News of the World. Il considérait que Charles et Camilla l'« avaient jeté en pâture ». Selon Harry, le véritable but de l’histoire était de redorer l'image de Charles qui avait pris un sacré coup suite au décès de Diana. Le pire dans tout ça, c’est que l’histoire avait été inventée de toutes pièces.

Une histoire compromettante

En effet, le journal avait publié un article de sept pages sur les années folles de l’adolescence de Harry, en insistant sur sa nature de fêtard. M. Bolland avait mentionné le séjour de Harry dans un centre de désintoxication au journal, potentiellement en vue de limiter l'impact sur la réputation du jeune prince. Le message transmis était toutefois plutôt : « Charles, inquiet, a choisi de terrifier Harry pour qu'il arrête la drogue en l’envoyant en thérapie avec des héroïnomanes endurcis ».

Un résultat embarrassant, lourd de conséquences

En réalité, la visite de Harry dans un centre de réhabilitation avait eu lieu deux mois auparavant et s'était simplement tenu dans le cadre de ses fonctions royales : il ne s’y était pas présenté pour un problème de drogue. En 2003, M. Bolland a confié au journal The Guardian qu’il était embarrassé par la façon dont News of the World avait présenté l’histoire, mais ses véritables intentions restent ambigues. La réputation de Harry en a toutefois pris un coup, alors que Charles semblait lui être le héros paternel.

« Une trahison terrible »

Blessé et déçu, Harry a écrit : « Pa n'était plus le mari infidèle, mais était désormais présenté au monde comme le père célibataire tourmenté qui devait gérer un enfant drogué ». Il a ajouté : « Je pourrais apprendre à supporter la presse, et même à pardonner leurs abus, peut-être, mais la complicité de ma propre famille, cela prendrait plus de temps à accepter. Le bureau de Pa… Qui laissait faire ces monstres, voire collaborait avec eux ».

« Une femme dangereuse »

Harry était convaincu que Camilla était également impliquée dans ce subterfuge, confiant : « Je ne savais pas trop quoi penser à l'idée d'avoir un beau-parent, qui selon moi, venait de me sacrifier sur son autel personnel des relations publiques ». Il souhaitait toutefois malgré tout qu’elle soit heureuse, mais uniquement pour une raison bien précise. Il a ainsi écrit : « Bizarrement, je voulais même que Camilla soit heureuse. Elle serait peut-être moins dangereuse en étant heureuse, non ? ».

« En quoi était-elle dangereuse ? »

Ce genre de commentaires ont été repris lorsque Harry a été interviewé par Anderson Cooper dans le cadre de l’émission de télévision 60 Minutes à la suite de la sortie du livre. A. Cooper a ainsi confié : « Vous avez écrit qu’elle avait lancé une campagne dans la presse britannique pour se frayer un chemin vers le mariage », avant de lire les citations de Harry et de finalement demander : « en quoi était-elle dangereuse ? ».

Un mariage inutile

« Nous ne pensions pas que c’était nécessaire », a répondu Harry, en se référant à ce que William et lui ont pensé du futur mariage de leur père avec Camilla. « Nous pensions que cela allait faire plus de mal que de bien, et que, s’il était maintenant avec sa personne, cela devait être suffisant, non ? Pourquoi aller aussi loin alors que ça n'est pas nécessaire ? ». Le mariage, selon eux, l’aurait placée dans une position « dangereuse » au sein de la monarchie.

Un lien douteux avec la presse britannique

« Ça la rendait dangereuse à cause des liens qu’elle forgeait avec la presse britannique », a répondu Harry. « Et il y avait une volonté ouverte d'échanger des informations des deux côtés. Et les conséquences étaient sérieuses au sein d'une famille basée sur la hiérarchie, sachant qu'elle était en route pour devenir reine consort ».

« Qu’avait-elle fait ? »

Suite à l’apparition dans 60 Minutes, Harry s’est confié à Michael Strahan sur Good Morning America. Le sujet de Camilla a bien évidemment été abordé, M. Strahan ayant évoqué tout ce qui avait trait à son mariage avec Charles avant de demander : « qu’avait-elle fait à ce moment-là, selon vous ? ». Harry avait alors répondu : « J’ai énormément de compassion pour elle, vous savez, en tant que troisième personne du mariage de mes parents ».

Une image publique à redorer

Harry a ensuite élaboré sur ses commentaires dans Le Suppléant, tout en essayant de rester assez courtois vis-à-vis de sa belle-mère. Essentiellement, il a affirmé qu’elle avait été mal conseillée au début de son union. Il a expliqué : « Elle devait se refaire une réputation ou une image, et peu importe les conversations qui ont eu lieu, peu importe les offres ou transactions qui ont été échangées dès le début, on lui a fait croire qu'il s'agissait de la meilleure façon… [de] le faire ».

La limite morale

« Ça n'est pas un problème qu’un membre de ma famille ait besoin de redorer son image », a poursuivi Harry avant de préciser qu'il avait l’impression que Camilla s’y était mal prise. Le prince a déclaré : « Mais il y a des limites si cette réhabilitation ou cette relation avec, dans le cas présent, les tabloïds britanniques, se fait au détriment de ma petite amie ou de ma famille, qu'elle soit proche ou élargie ».

« Nous sommes parfaitement courtois »

Harry a confié au sujet de sa relation actuelle avec Camilla : « Nous ne nous sommes pas parlés depuis longtemps. J’aime tous les membres de ma famille, malgré nos différences. Lorsque je la vois, nous sommes donc parfaitement courtois. C’est ma belle-mère. Je ne la vois pas comme une méchante belle-mère. Je vois une personne qui s’est mariée et a fini au sein de cette institution et… [a] tout fait pour améliorer sa propre réputation et sa propre image, pour son propre bien ».

Un expert de la famille royale soutient Harry

Sans surprise, Camilla n’a pas commenté les affirmations controversées de Harry publiquement. Fait intéressant, le biographe royal Christopher Wilson a déclaré au magazine People que selon lui, Harry était en droit de mettre les points sur les i avec elle et l'institution royale. Il a confié que Harry « avait de bonnes raisons de se plaindre de la manière dont lui et William ont été utilisés plus jeunes pour donner une légitimité à la relation » de Charles et Camilla.

Que ressentait Camilla ?

Christopher Wilson a confié au sujet de la réaction de Camilla suite aux commentaires de Harry : « Avec le temps, elle a appris à encaisser les coups. Elle connaît parfaitement les sentiments de Harry depuis de nombreuses années. Sa réaction aux commentaires de Harry se limiterait à un triste hochement de tête ». Il existe toutefois une personne dans la vie de Camilla qui ne se contente pas de simples hochements de tête : Tom n'hésite pas à réagir pour défendre sa mère.

Une apparition rare sur un podcast

L'auteur culinaire Tom a participé au podcast The News Agents en avril 2023 et a donné son avis sur le futur statut de reine consort de sa mère, alors que son beau-père Charles s'apprêtait à être couronné roi le mois suivant. C’était la première fois depuis de nombreuses années qu’il évoquait son lien royal, ayant généralement tendance à éviter activement de participer à toute activité médiatique susceptible d'attirer l'attention.

« Il s'agit toujours de ma mère »

Tom a affirmé que rien n'allait changer entre eux suite à l'ascension de sa mère au trône, confiant : « Il s'agit toujours de ma mère ». En réalité, il a affirmé qu’il ne trouvait ni gênant ni étrange de l'appeler « la reine », ce qui a peut-être choqué de nombreux auditeurs. Son raisonnement était simplement « parce qu’elle est toujours notre mère. Je dis 'notre', mais il ne s'agit pas du 'nous' royal, je parle pour ma sœur et moi. C'est notre mère ».

Le rejet des affirmations de Harry

Plus important encore, Tom a donné son avis sur un plan « ultime » que sa mère aurait concocté ; un commentaire qui semble faire directement référence aux allégations de Harry. Il a ainsi confié : « Je pense que les choses évoluent, mais je me fiche de ce que les gens disent. Il ne s'agissait pas du tout d'un plan ultime. Elle a épousé la personne qu’elle aimait, et c’est ce qui s'est passé ».

« N’importe qui serait anxieux » au sujet du couronnement

Tom a toutefois confié qu’il s’attendait à ce que sa mère soit nerveuse lors de la cérémonie du couronnement, précisant : « Je pense que n’importe qui serait anxieux lors d'une occasion historique de ce genre. Et oui, je pense que je serais terrifié à l'idée de me balader vêtu de robes anciennes. Elle a 75 ans, mais vous savez, c’est difficile. Elle ne s’est toutefois jamais plainte. Il faut le faire. Y aller ».

« Nous sommes de simples invités »

Quant à son rôle lors du couronnement de Charles, Tom était convaincu qu’il serait minime. Certains fans ont également remarqué qu’il surnommait le roi son « beau-père ». Il a ri : « Nous sommes de simples invités. Nous arrivons tôt, et nous sourions. Mais nous allons nous inquiéter pour ma mère. Si notre beau-père va bien, évidemment ». Il a également été interrogé sur une participation éventuelle à la traditionnelle séance de photos sur le balcon du palais, ce à quoi il a répondu en riant : « Non, je ne crois pas. Je ne vois pas pourquoi ».

« Cela serait épouvantable »

Tom était catégorique sur le fait qu’il ne s’attendait pas non plus à ce que quoi que ce soit ne change, surtout en matière de titre royal officiel. Il a ainsi confié en blaguant : « Il y aurait une révolution s’ils commençaient à les distribuer à des gens comme moi ! Non. Pourquoi en recevrais-je un ? Vous ne nous verrez pas avec de grands domaines et appelés duc de quoi que ce soit. Non, cela serait épouvantable ».

Un membre de la famille royale pourrait être heureux de voir Tom réagir

En fin de compte, une personne pourrait être ravie par les propos de Tom, selon une experte de la famille royale, Kinsey Schofield du podcast To Di For. Elle a ainsi confié : « J’adore le fait que Tom ait abordé le sujet car William aimerait le faire. Il s’est battu pour un changement de stratégie, mais n'a pas été entendu. Et Tom n'est pas tenu de respecter le mantra 'ne jamais se plaindre, ne jamais expliquer' car il n'est pas membre de la famille royale ».

Prendre la défense de sa mère

« Il a pris la parole pour défendre sa mère, et je ne pense pas que Camilla rampait ou essayait désespérément de décrocher la couronne », a confié K. Schofield à Sky News Australia. « Son arrière-grand-mère était Alice Keppel, une femme heureuse d'être la maîtresse du roi. Je ne pense pas qu’elle [Camilla] s'imaginait même pouvoir l’épouser, encore moins devenir reine consort. Tant mieux pour elle ».